Allez, parce qu'Antony Hegarty a sorti un des meilleurs disques de ce début d'année et parce que ce live est un concert privé organisé par l'excellent site Pitchfork, voici le gros androgyne à la voix d'ange dans "Kiss My Name" : classe !
Après la parenthèse de l'iguane, revenons à de la douceur avec un nouvel album de l'écossais James Yorkston et son orchestre de seconde main suédois - The Second Hand Orchestra, c'est leur vrai nom - mené par Karl-Jonas Winqvist. Si je n'ai jamais parlé de leur musique ici, c'est sans doute parce qu'elle est trop discrète, pas assez moderne et que leurs albums devaient paraître alors que je donnais la priorité à d'autres sorties plus bruyantes dans tous les sens du terme. Je profite donc de l'accalmie du mois de janvier pour me rattraper. Cette fois-ci, avant de rentrer en studio avec leur orchestre, Yorkston et Winqvist se sont dit qu'il manquait quelque chose aux délicates chansons écrites par l'écossais. Une voix féminine. Et en Suède, quand on parle de douce voix mélodique, on pense évidemment à Nina Persson, l'ex-chanteuse des inoffensifs Cardigans dont on se souvient au moins pour les tubes " Lovefool " et " My favorite
Kiss my name
RépondreSupprimerMama in the afterglow
When the grass is green with grow
And my tears have turned to snow
I’m only a child
Born upon a grave
Dancing through the stations
Calling out my name
Oh mama kiss my name
I am trying to be sane
I’m trying to kiss my friends
And when broken, make amends
Kiss my name, the curtains white
The turtle doves embroider light
As I lie, murdered in ground
The rain compacting sodden sound
Of songs I sang the years before
When it was time to rain
Upon the coal that I became